je voudrai vous parler de Sbeïda
comme j'ai l'habitude de vous parler de mon quotidien, je voudrai aujourd'hui vous parler de Sbeïda, éducatrice spécialisée .
Ce qui caractérise Sbeïda, c'est son coeur, tourné essentiellement vers les autres . Pourtant son coeur à elle, est défaillant et sa silhouette connue de tous, ne cache pas l'handicap, malgré le sourrire, toujours sur ses lèvres .
Pas une seule famille, pas un seul jeune, du quartier jacques Monot ou anciennement Le quartier Olivier de Serres ( refuge des "étrangers en exil", quartier aujourd'hui démoli) ignore qui est Sbeïda . Elle fait partie de ces éducateurs de rue, pour qui la carrière n'est pas éssentielle, ce qui compte avant tout, c'est d'aider les jeunes à avancer et surtout leur éviter de tomber dans la délinquence . Je connais Sbeïda, à travers le fonds d'aide aux jeunes, quand il fallait trouver des solutions pour les jeunes, mais si ils ne collaient pas toujours aux dispositifs existants.
Vendredi dernier à 60 ans, elle a réuni professionnels, jeunes, famiiles, pour fêter son départ du monde professionnel, mais pas du monde des autres .
Le plus bel hommage, je vous le livre : il s'agit d'un jeune, qui "déviait" et qu'elle a remis, sur le droit chemin . Aujourdh'ui, il a réussi et fait partie du conseil municipal de Vaulx en Velin . Son cadeau, ce fût son écharpe de conseiller . Et puis ce groupe de musique Tunisienne, musique et danse, tout en finesse, qui ne ressemble en rien, aux danses déhanchées d'Algérie . Et puis ces familles du Maghreb, accueillantes ou chacun à sa place, quelle leçon de vie .
Des Sbeïda, il en faudrait beaucoup, dans un monde social en pleine mutation, ou le temps consacré aux autres, va de pair, avec évolution de carrière, intérets personnels ....
Bon vent Sbeïda, j'aime le social, grâce à des professionnels comme toi !
comme j'ai l'habitude de vous parler de mon quotidien, je voudrai aujourd'hui vous parler de Sbeïda, éducatrice spécialisée .
Ce qui caractérise Sbeïda, c'est son coeur, tourné essentiellement vers les autres . Pourtant son coeur à elle, est défaillant et sa silhouette connue de tous, ne cache pas l'handicap, malgré le sourrire, toujours sur ses lèvres .
Pas une seule famille, pas un seul jeune, du quartier jacques Monot ou anciennement Le quartier Olivier de Serres ( refuge des "étrangers en exil", quartier aujourd'hui démoli) ignore qui est Sbeïda . Elle fait partie de ces éducateurs de rue, pour qui la carrière n'est pas éssentielle, ce qui compte avant tout, c'est d'aider les jeunes à avancer et surtout leur éviter de tomber dans la délinquence . Je connais Sbeïda, à travers le fonds d'aide aux jeunes, quand il fallait trouver des solutions pour les jeunes, mais si ils ne collaient pas toujours aux dispositifs existants.
Vendredi dernier à 60 ans, elle a réuni professionnels, jeunes, famiiles, pour fêter son départ du monde professionnel, mais pas du monde des autres .
Le plus bel hommage, je vous le livre : il s'agit d'un jeune, qui "déviait" et qu'elle a remis, sur le droit chemin . Aujourdh'ui, il a réussi et fait partie du conseil municipal de Vaulx en Velin . Son cadeau, ce fût son écharpe de conseiller . Et puis ce groupe de musique Tunisienne, musique et danse, tout en finesse, qui ne ressemble en rien, aux danses déhanchées d'Algérie . Et puis ces familles du Maghreb, accueillantes ou chacun à sa place, quelle leçon de vie .
Des Sbeïda, il en faudrait beaucoup, dans un monde social en pleine mutation, ou le temps consacré aux autres, va de pair, avec évolution de carrière, intérets personnels ....
Bon vent Sbeïda, j'aime le social, grâce à des professionnels comme toi !
1 commentaire:
Respect à Sbeida et à tous ceux qui ont adopté cette philosophie de la vie !
Le partage est le trésor de l'humanité !
Enregistrer un commentaire